Rose VIGNEAU : acte de décès (sosa 57)

Acte de décès de Rose VIGNEAU
09/06/1886 - Chançay (37)
L'an mil huit cent quatre vingt six le neuf juin à huit heures du
soir. Pardevant nous Royer André-Pierre, maire et officier de
l'état civil de la commune de Chançay, canton de Vouvray (Indre-
et-Loire), sont comparus les sieurs Renard Paul-René, vigneron,
âgé de quarante ans, domicilié à la Vallée du vau en cette commune,
fils de la décédée, et Sachet Pierre, maçon, âgé de trente six ans,
domicilié au même lieu, gendre de la décédée, lesquels nous
ont déclaré que Rose Vigneau, veuve de René Renard,
fille de Pierre Vigneau et de Rose Courtemanche, née à
Chançay le quatorze décembre mil huit cent dix-
sept, est décédée en son domicile, aux Coutière en
cette commune, ce jour à six heures et demie du
soir, dans sa soixante neuvième année. De quoi
nous étant assuré, nous avons dressé le présent
acte en présence des comparants qui l'ont signé avec
nous aprèslecture faite.

Rose VIGNEAU : acte de naissance (sosa 57)

Acte de naissance de Rose VIGNEAU
14/12/1817 - Chançay (37)
L'an dix huit cent dix sept le dimanche quattorze decembre a neuf heure
du matin par devant nous pierre langlois adjoint de monsieur le maire de la
commune de chançay canton de vouvraÿ départyement d'indre et loire faisant
en son absence les fonctions d'officier de letat civille de ladite commune
est comparu pierre vigneau age de vingt cinq ans profession de vigneron
domicilié en cete commune lesquel nous a pressanté un enfan du sexe femi
in née d'aujourd'hui a deu heur du matin de lui déclarant et de Rosse
Courthemanche sa légitime et pouze agée de vingt deu an dont il a
declare vouloir donne le prenom de Rosse les dit présentation et
declaration fait et en presance de pierre vigneau age de cinquante
ans profession de vigneron domicile en cete commune grand perre de l'enfant
premier témoin et jacque detteinu age de quarante ans profession de
vigneron domicilié en cete commune second temoins après lecture fait
du dit acte leper et les temoins on declare ne cavoir signe de ce en
requete suivant la loi.

Acte de mariage de René RENARD et Rose VIGNEAU

Acte de mariage de René RENARD et Rose VIGNEAU
28/01/1845 - Chançay (37)
L'an mil huit cent quarante cinq, le vingt huit janvier
à dix heures du matin, Devant nous, Denis Peltier, maire
officier de l'Etat civil de la commune de Chançay, canton
de Vouvray, département d'indre & Loire ; sont comparus René
Renard, vigneron, domicilié à la vallée Duvau chez sa mère ;
né en cette commune, le huit septembre mil huit cent dix sept
fild naturel de françoise Renard, veuve de Joseph Morier
âgé de soixante ans, et de père inconnue, suivant son acte de
naissance sur les registres des actes de l'Etat civil de la dite commune
rectifié par un jugement du tribunal civil de Tours en datte du
onze juillet mil huit cent quarante trois, transcrit sur les registres
de la même année, d'une part ; et Rose Vigneau, sans profession
née en cette commune , le quatorze décembre mil huit cent dix sept
à deux heures du matin, demeurant chez son père au lieu des Coutières
en cette commune, fille légitime de Pierre Vigneau, marchand de
porcs, âgé de cinquante deux ans, et de Rose Courtemanche,
décédée le onze avril mil huit cent quarante un, à sept heures
du soir ; suivant les actes de naissances de décès présents sur les registres de
l'état civile de la commune, d'autre part ; lesquelles nous ont requis
de procéder à la célébration de leur mariage projeté entre eux, dont les
publications ont été faites dans cette commune seulement les dimanches
cinq et douze janvier, à la porte de la mairie de cette commune à
l'heure de midi, et y ont été affichées conformément à la loi, sans
qu'il nous soit survenu aucune opposition ; nous faisons droit à leur
requisition : après avoir donné lecture de toutes les pièces reconnues en bonnes
formes, qui demeurent annexées au présent acte, et du chapitre six du
code civil, intitulé du mariage. Nous avons demandé au
futur époux et à la future épouse s'ils veulent d'unir par le
mariage, chacun d'eux à répondu séparement et affirmativement.

Nous déclarons au nom de la loi que René Renard et
Rose Vigneau sont unis par le mariage, c'en pourquoi
nous avons dressé le présent acte, à la mairie de cette commune
en la présence et du consentement de françoise renard mère
de l'époux, et de Etienne Bongars, cultivateur, âgé de cinquante
quatre ans, domicilié à Vernou, premier témoin, et de Etienne
Renard, vigneron, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Vernou,
d'une part et du consentement de pierre Vigneau, père de l'épouse,
et de Pierre Vigneau, grand-père paternel de la marie; âgé de
soixante dix huit ans, rentier, domicilié à la vallée de Raye
en cette commune, premier témoin, et de Pierre Hyrommeay,
cordonnier, âgé de vingt huit ans, domicilié au bourg, cordonnier
cousin du côté maternel, second témoin, d'autre part.
Et ont les conjoints et les témoins, d'après avoir formé l'acte
en leur présence et leur en avoir donné lecture, déclaré ne
savoir signer, à l'exception du marié et de Pierre Hyrommeay
qui ont dit le savoir. A la mairie du dit lieu, les jours,
mois et an dusdits.

René RENARD : acte de décès (sosa 56)

Acte de décès de René RENARD le 08/08/1881 à Chançay (37)
Acte de décès de René RENARD
08/08/1881 - Chançay (37)
L'an mil huit cent-quatre-vingt-un, le huit du mois d'août
à huit heures du matin.
Par devant Nous Royer André, maire et
Officier de l'état-civil de la commune de Chançay, canton de Vouvray
département d'Indre-et-Loire, sont comparus Renard Paul-René
âgé de trente quatre ans, profession de vigneron domicilié à Chançay
département d'Indre et Loire, qui a dit être fils du défunt,
et Roguet-Paulinet, âgé de quarante quatre ans,
profession d'Instituteur, domicilié à Chançay,
qui a dit être ami du défunt, lesquels nous ont déclaré de Renard
René, époux de Rose Vigneau,
âgé de soixante quatre ans, profession de vigneron, domicilié à Chançay
département d'Indre et Loire, né à Chançay, le huit septembre
mil huit cent dix sept fils naturel de Françoise Renard (décédée, [...]
et de père inconnu [...]
est décédé le sept du mois d'août mil huit cent
quatre vingt un, à neuf heures du soir.
Nous nous sommes assuré de l'exactitude de la déclaration de ces témoins, qui ont, après
lecture à eux faite du présent acte, signé avec nous.

René RENARD : acte de naissance (sosa 56)

Acte de naissance de René RENARD le 09/09/1817 à Chançay (37)
Acte de naissance de René RENARD
09/09/1817 - Chançay (37)
L'an dix huit cent dix sept le neuf septembre le mercredi a leur de midi par
Devant nous pierre langlois adjoint de monsieur le maire de la commune de Chançay
Canton de vouvray département d'indre et loir faisant en son absence
les fonction d'officier de l'état civil de la dite commune est comparu
anne poisson sage femme agée de soissant dix ans veuve de hantoine crosit
Domiciliée en la commune de Chançay lesquels nous on déclaré que françoise
Renard agée de trante deux ans est acouchée X d'hier à trois heur du soir et
pouse de joseph morier agé de trante deu ans profession de vigneron domici
en cette commune x lesquel nous on presante un anfant du seix masculin
et auquel il on voulu done le prénom de Réné lesdites presentation
et declaration fait en presance de françois joseph voisin age de
de trante neuf ans profession de tisserand domicilie en cete commune premier
témoins et michel Renard age de trante six ans profession de vigneron
domicilié en cet commune second temoins le dit voisin a signe avec nous la
declarant et Renard on declare ne le cavoir après leur an avoir donne
lecture du presant acte de ce interpelé suivant la loi.

Note marginale :

Par jugement du tribunal civil de Tours en date du 11 juillet 1843
Enregé ; il a été ordonné que l'acte de naissance ci dessous serait rectifié en ce
sens que l'enfant aurait du y être indiqué comme fils naturel
de françoise Renard et de père inconnu, au lieur de fils
légitime de rené Morier.
Pour ectification conforme
Touars le 20 juillet 1843

Le jugement :

Jugement rectificatif de l'acte de naissance de René RENARD
01/08/1843 - Chançay (37)
L'n mil huit cent quarante trois, le premier août, Nous Denis
Pletier, maire, officier de l'Etat civil de la commune de Chançay,
avons transcris le jugement qui suit :

Louis-Philippe roi des français à tous présents et a venir
Salut. Le tribunal civil de l'arrondissement [...]
de Tours, département d'indre et Loire a rendu le jugement
suivant étant à la suite de la requête ci-après.
A Messieurs Messieurs les présidents et juges
composant le tribunal civil de Tours.
René Renard, françois Renard et Etienne
Renard tous trois journaliers demeurant commune
de Chançay ont l'honneur d'exposer par maître
Porthée leur avoué que dans leurs actes de naissance
dressés à la mairie de Chançay, savoir celui de
René Renard le neuf septembre mil huit cent
dix sept, Celui de françois renard, le douze Juin
mil huit cent dix neuf. Et celui de Etienne Renard
le sept mai mil huit cent vingt et un.
Il est dit qu'ils sont issus du mariage de françoise
Renard avec Joseph Morier, mais que cette indi-
cation doit être considérée comme inexacte puisqu'il
résulte d'un jugement de ce tribunal en date du
onze juillet mil huit cent trente deux enregistre
que le dit sieur Joseph Morier est décédé le dix
mars mil huit cent quatorze. Que dès lors leurs
véritable nom doit être celui de leur mère et non
celui de Morier qui leur est attribué dans ces actes de
naissance. Pourquoi ils demandent qu'il vous
plaise Messieurs. Vu la présente Requête,
ensemble le jugement sus daté et les actes de
naissance des exposants. Vu également les
Dispositions des articles quatre vingt dix neuf et cent
un du code civil, huit cent cinquante cinq et suivants
du code de procédure civile. Ordonner la Rectification des
dits actes de naissance en ce sens que les exposant seront
déclarés fils naturels de françoise Renard et de père incon-
nu. Ordonner que le jugement à intervenir sera transcrit
sur les registres par l'officier de l'etat civil aussitôt
qu'il lui sera remis ; que mention en sera faite en marge
des cates reformés âr l'officier de l'état civil de la commune
de Chançay et par le greffier du tribunal et qu'à l'avenir
les dits actes ne soient délivrés qu'avec la rectification
susdite sous peine de droits. Et vous ferez
justice. Signé P. Prothée. Soit communiqué au
ministaire public et fais rapport à l'audience par
Monsieur Desourdeval juge à ce tribunal que nous
commettons à cet effet. Donné en notre [...]
à Tours le onze juillet mil huit cent quarante
trois. Signé N Carré. Vu au parquet de tours
le onze juillet mil huit cent quarante trois.

Signé L Corterne substitut. Le tribunal après
avoir entendu Monsieur Desourdeval en son rapport,
maître Pothée en ses observations et Monsieur le Procureur
du Roi en ses conclusions. Vu la Requête qui précède
l'ordonnance de soit communiqué et le visa de Monsieur
le procureur de Roi, après avoir délibéré. Attendu que
les trois individus nommés René, françoi et Etinne
et inscrits sur les registres de l'état civil de la commune
de Chançay comme fil légitime de Joseph Morier
et de françoise Renard son épouse sont nés le premier
le huit septembre mil huit cent dix sept, le deuxième,
le onze juin mil huit cent dox neuf, le troisième
le [...] Mai mil huit cent vingt et un. Attendu que
Joseph Morier désigné comme leur père dans leur acte
de naissance était décédé dès le dix mars mil huit
cent quatorze ainsi que cela est constaté par un jugeme
nt du tribunal du onze juillet mil huit cent trente deux.
Attendu que dès lors que c'est à tort qu'ils ont été
inscrits sur le registre des naissances de la commune
de Chançay comme enfants légitimes de joseph
Morier et de françoise Renard puisqu'ils devaient
l'être comme enfant naturel de françoise Renard
veuve Morier et de père inconnu.
Ordonne que leur acte de naissance inscrit sur les
registres de l'état civile de la commune de Chançay
le neuf septembre mil huit cent dix sept, douze
juin mil huit cent dix neuf et sept mai mil huit
cent vingt et un et indiquant 1er René 2e françois
et 3e Etienne né le premier le huit septembre
mil huit cent dix sept, le second, le onze juin mil
huiot cent dix neuf et le troisième, le six mai mil
huit cent vingt et un comme enfants légitimes
de Joseph Morier et farnçoise Renard son épouse
seront rectifiés en ce sens que les dits René, françois et
Etienne sont enfant naturel de françoise Renard
veuve de Joseph Morier et de père inconnue? Ordonne
que le présent jugement sera transcrit en entier sur
les registres de l'état civil par l'officier de l'état civile
de la commune de Chançay que mention de la dite rectifica
tionet du jugement sera faite par l'officier de l'état civil
de la dite commune et par l'officier du tribunal en
marge des actes réformés et qu'à l'avenir les dits
actes ne soient délivrés en expédition qu'avec la mention
de la dite rectification et du jugement à quoi faire
tous dépositaires des registres contraint sous les peines
de droits ainsi jugé au palais de justice de Tours et
Prononcé publiquement à l'audience du mardi Onze
Juillet mil hit cent quarante trois où siégeaient

Messieurs Carré président? Sourdeval, Maulnier et
Baussier juges en présence de monsieur Corterne substitut
de monsieur le procureur du Roi, assistés de maître
Camun greffier. La minute est signée. N Carré et
Camun. au bas est écrit enregistré à Tours le quato
rze juillet mil huit cent quarante trois folio 54? Case [...]
Reçu cinq frans cinquante centimes, décime compris
signé Bernier.
Mandons et Donnons à tous huissiers sur ce requis
de mettre le présent jugement à exécution, à nos procureurs
généraux près nos cours royales et à nos procureurs
raoyaux près les tribunaix de première insatnce d'y
tenir la main à tous commandant et officier de la force
publique d'y prêter main forte lrsqu'ils en seront éga
lement requis. En foi de quoi les présentes ont été
signée et sceller du sceau du tribunal. Pour
expédition certifié conformes délivrée par nous greffier
en chef soussigné. Sigén Camun.
A la mairie de Chançay, les jours, mois et an susdit.

Victoire BOURREAU : acte de naissance (sosa 55)

Acte de naissance de Victoire BOURREAU le 28/01/1813 à Vaas (72)
Acte de naissance de Victoire BOURREAU
28/01/1813 - Vaas (72)
Le vingt neuvieme jour du mois de janvier an mil
huit cent treize
acte de naissance de Victoire Boureau née en la
commune de Vaas le jour d'hyer sur les dix heures du soir
fille de sieur alexandre Boureau profession de fermier et
de Marie Guignard, sur le representation qui nous
en a été faite par le dit sieur Boureau demeurant
a la ferme du grand pain dite commune de Vaas.
Le sexe de l'enfant a été reconnu être un garçon.
premeir témoin le sieur joseph Berdet âgé de trente
trois ans prefession de fermier domicilié au lieu de la
perriere dite commune de Vaas.
second témoin le sieur Jacques Guygnard âgé de vingt
cinq ans profession de Meuier domicilié au lieu de la
cheviliere commune de Couesme depart° d'indre et Loire.
Dressé par nous de herte Mercille maire de la
commune de vaas, troisieme arrondissement du
departement de la Sarthe faisant les fonctions
d'officier public de l'Etat civil soussigne et ont
les comparants après lecture du présent signé avec
nlous.

Victoire BOURREAU : acte de décès (sosa 55)

Acte de décès de Victoire BOURREAU le 13/07/1888 à Couesmes (37)
Acte de décès de Victoire BOURREAU
13/07/1888 - Couesmes (37)
L'An mil huit cent quatre-vingt-huit le treize du mois de juillet
à cinq heures du soir
Par devant Nous, François Moisant, maire
Officier de l'état-civil de la commune de Couesmes, canton de Chateau la Vallière
département d'Indre-et-Loire, sont comparus Guignard Joseph
âgé de quarante-trois ans, profession d'aubergiste
demeurant à Couesmes département d'Indre-et-Loire
qui a dit être cousinde la défunt et Ragot Joseph
âgé de quarante-trois ans, profession de maître maçon
demeurant à Couesmes, départeemnt d'Indre-et-Loire, qui a dit être
voisin de la défunte lesquels nous ont déclaré que Bourreau Victoire veuve
en second mariage de Godard François, âgée de soixante-seize ans,
sans profession demeurant à Couesmes
département d'Indre-et-Loire, née à Vaas, département
de la Sarthe, fille légitime de feu Bourreau Alexandre
profession de cultivateur, demeurant Vaas
département de la Sarthe, et de feue Guignard Marie
sans profession demaurant à Vaas département
de la Sarthe, est décédée le treize du mois de juillet, l'an mil huit
cent quarte-vingt huit à onze heures du matin.
Nous nous sommes assuré de l'exactitude de al déclaration de ces témoins, qui ont, après
lecture à eux faite du présent acte, signé avec nous.

Acte de mariage de François Urbain GODARD x Victoire BARREAU

Acte de mariage de François Urbain GODARD et Victoire BARREAU
26/07/1837 - Château-la-Vallière (37)
Aujourd'hui vingt six juillet
mil huit cent trente sept, dix heures du matin
Devant nous Victor Chenay, maire de la ville de Chateau
la Vallière, faisant les fonctions d'officier public de l'état
civil, soussigné. Sont comparus françois Urbain
Godard, journalier, âgé de vingt neuf ans deux
mois, domicilié en cette ville, né à Saint Germain d'arcé
(Sarthe) le trente mars mil huit cent huit suivant
son acte de naissance représenté, fils de feu françois
Godard, en son vivant journalier, décédé en cette commune,
le quatorze avril mil huit cent vingt sept, comme il résulte
de son acte de décès représenté, et de feue françoise Milon,
aussi décédée en cette ville comme il est constaté par
son acte de décès représenté, veuf de Madeleine
Doris, décédée en cette ville le douze septembre
mil huit cent trente six suivant son acte de décès
représenté, d'une part Et Victoire Bourreau, sans
prefession, née à vaas (Sarthe) le vingt neuf janvier
mil huit cent treize, suivant son acte de naissance
représenté, âgée de vingt quatre ans, fille de feu
alexandre Bourreau, décédé dite commune de Vaas
le deux janvier mil huit cent trente, suivant son
acte de décès représenté, et dame Marie Guignard
sa veuve+, domicilée la future en cette ville et Marie
Guignard sa mère en la commune de Couesmes
d'autre part. Lesquels, en présence et du consentement
de la mère de la future, nous ont requis de procéder
à la célébration du mariage projetté entre eux et dont
les publications ont été faites en cette ville et dans
la commune de Couesmes les dimanches seize et vingt
trois de ce mois suivant le certificat de monsieur
le maire de Couesmes à la date de ce jour, et les affiches

placardées aux portes des deux dites mairies
le tous que la loi prévoit ; aucune opposition ne nous
ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition
après avoir donné lecture aux dites parties de toutes
les pièces sus-mentionnées, lesquelles pièces dumant
en forme sont demeurées jointes au présent acte ;
après aussi avoir donné lecture aux dites
parties du chapitre six du code civil intitulé
du mariage, sur les droits et les devoirs respectifs
des époux, avons demandé au futur époux
et à la future épouse s'ils veulent se prendre
pour mari et pour femme, chacun d'eux
ayant répondu séparément et affirmativement
Déclarons au nom de la loi que françois Urbain
Godard et Victoire Bourreau sont unis par
le mariage, de tout quoi nous avons dressé
le pr"sent acte en présence des sieurs Jean
Godard, journalier, âgé de vingt cinq ans
six mois, demeurant en cette ville, frère
de l'époux, Godard Joseph, âgé de vingt
trois ans, domestique, demeurant à Villiers
au Boin, aussi frère de l'époux, Prou Jacques
meunier, âgé de vingt six ans,
demeurant à fouray, ami des époux, Pierre
Poitrineau, cordonnier, âgé de trente un
ans, domicilié en cette ville, cousin de l'époux
à cause de sa premère épouse, le sieur
poitrineau et la mère de l'épouse ont signé
avec nous, quant aux trois autres témoins
et aux époux, ils ont déclaré ne le savoir

de ce enquis après lesture du
présent acte.

+ veuve de Louis méchez
décédé à Couesmes
le vingt six
septembre mil
huit cent trente
cinq suivant son
acte de décès représenté.

François Urbain GODARD : acte de décès (sosa 54)

Acte de décès de François Urbain GODARD le 05/08/1872 à Couesmes (37)
Acte de décès de François Urbain GODARD
05/08/1872 Couesmes (37)
L'an mil huit cent soixante douze le cinq
août à six heures du soir par devant nous
Jacques Henri Bidaine maire et officier public
de l'état civil de la commune de Couesmes
sont comparus à la maison commune les sieurs
Laleu François âgé de quarante deux ans et
Aveline Urbain âgé de trente huit ans Journaliers
tous les deux demeurants au hameau de lepinière
en cette commune voisins non parents du décédé
ci après nommé lesquels nous ont déclarés
que François Urbain Godard, cultivateur
demeurant au dit hameau de lepinière âgé
de soixante quatre ans né commune de Saint
Germain d'Arcé (sarthe) le trente mars mil
huit cent huit fils de feu François Godard
et de feue Françoise Milon cultivateur décédés
ville deChateau la Vallière veuf en premier
mariage de feue Madelaine Doris décdée
ditte ville de Chateau la Vallière époux
de Victoire Boureau cultivatrice demeurante
au dit hameau de lépinière en cette commun
est décdé dans sont dit domicile le Jourd'huit
à deux heures du soir ce dont nous nous sommes
assuré n foi de quoi nous avons rédiger le présent
acte en résence des témoins déclarant qui ont
déclarés ne savoir signer après lecture faite

François Urbain GODARD : acte de naissance (sosa 54)

Acte de naissance de François Urbain GODARD le 30/03/1808 à Saint-Germain-d'Arcé (72)
Acte de naissance de François Urbain GODARD
30/03/1808 - Saint-Germain-d'Arcé (72)
Du trentième jour du mois de mars
L'an mil huit cent huit sur les quatres heures du soir
Acte de naissance de François Urbain
né en la commune de St Germain d'arcé ce jour
à onze heure du matin fils de François
godard cultuvateur et de Françoise
millon se femme légitime.
Sur la présentation qui nous en a été faite par ledit
francçois godard, profession de cultivateur
demeurant à la prezais audit Saint germain
Le sexe de l'Enfant a été reconnu être un garçon
Premier témoin le (...) urbain godard âgé de trente six ans,
profession de (...) demeurant à Chateau la valliere
Second témoin le (...) mathieu menant âgé de trente huit ans
profession de cabaretier demeurant àudit St germain
Dressé par nous adjoint soussigné pour absence de m le Maire de la
Commune de St germain d'arcé Arrondissement de la
Fléche, Département de la Sarthe, faisant les fonctions d'Officier
public de l'Etat civil soussigné, et ont les Comparants, après
lecture du présent, signés, sauf ledit urbain godard qui a déclaré
ne le savoir

Le métier de tisserand en cave dans les Mauges et le choletais

Tisserand en cave dans le choletais
Tisserand en cave dans le choletais

Dans les Mauges et le choletais, nos ancêtres tisserands exercçaient leur métier dans la cave, semi-enterrée de leur maison. Obtenant ainsi une température et une hygrométrie relativement constantes, le fil à tisser était moins cassant et par conséquent le travail moins souvent interrompu et le rendement meilleur. Mais le peu d'aération et de lumière (un ou deux soupiraux) ainsi que la poussière dégagée par le fil rendait ces caves humides particulièrement néfaste pour la santé. De plus les gestes répétés favorisaient les rhumatismes et les cliquetis de la navette le rendait sourd.

Quentin se remit au « métier », entamant le tissage d’un « paré » de deux mouchoirs, croisant la trame avec la chaîne, poussant la navette qui au fur et à mesure dévidait l’épelle, avec les « peignes » animés par les pédales. Un jeu et des gestes parfaitement coordonnés, automatiques, parce que répétés des milliers de fois depuis des années. [1]

Tisserands en cave dans le choletais
Tisserands en cave dans le choletais

En annexe de son roman Marie-Jeanne du Tisserand ou Les souffre-misère des Mauges, René BERGER nous en apprend un peu plus sur le travail des tisserands en cave :

L'épouse, ou le fils de 10 ans, aide au rouet, dévide les épelle (bobines garnissant les navettes).
On assiste parfois à des concours de vitesse, pour l'émulation, entre le garçon qui « dévroille » (dévide l'écheveau utilisé pour l'épelle) et le père ou l'aîné qui tisse un « paré »(deux mouchoirs).
Un coup de « bandoue » (latte séparant deux rangées de fils de la chaîne) sanctionnera le perdant.

Lorsque la pièce (18 douzaines) est achevée, le tisserand s'octroie deux jours de « repos ». Pas un vrai repos. En fait, il charge son « travail » dans un sac qu'il prend sur son dos. Et il va le porter, à pied, chez le patron, le négociant. Puis il revient à la boutique avec une pièce nouvelle, et, dans la poche le maigre salaire de son travail.

Le lendemain, la « noueuse », sa femme le plus souvant, noue les fils de la nouvelle pièce mise sur le métier, tandis que le tisserand tyrouve une courte détente dans son petit jardin.

On travail beaucoup pour gagner peu.

Le tisserand sépuisait donc la semaine sur son métier pour tisser la pièce (18 douzaine). Le samedi, il la livrait au patron ou négociant qui le payait et lui donnait la matière première pour faire une nouvelle pièce. S'il ne livrait pas la pièce au jour prévu, le tisserand risquait de ne plus se voir confier d'ouvrage la semaine suivante ! [1] Et le dimanche, le tisserand faisait son potager s'il possédait un bout de jardin, potager qui permettait de survivre un peu mieux...

Tissage, mais aussi filage (qui disparait au début du XIXe siècle dans le choletais [2]), dévidage, nouage, blanchissage (le blanchissage après lavage dans les eaux des rivières et sèchage des toiles étalées sur les prairies était très réputé à Cholet)... Tout ou partie de ces opérations pouvaient être effectuées par les tisserands ou leur femme, leurs enfants. Louise SOULET était filandière, Laurence GROLLEAU était qualifiée de tisserande dans la majorité des documents (actes de l'état civil et recensements) mais aussi parfois de  dévideuse (acte de naissance de sa fille Eugénie Lucie Laurence le 31/02/1864 et acte de décès de sa fille Ernestine Marie Anatolie le 03/02/1876).

Tisserand et dévideuse à Mortagne-sur-Sèvre
Tisserand et dévideuse à Mortagne-sur-Sèvre

[1] Marie-Jeanne du Tisserand ou Les souffre-misère des Mauges de René BERGER
[2] Maillard Jean. La disparition des fileuses rurales dans la manufacture choletaise au début du XIXe siècle. In: Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 107, numéro 2, 2000. Les activités textiles dans l'Ouest XVIe-XIXe siècles. pp. 151-161

Mélanie JOURAND : acte de décès (sosa 19)

Acte de décès de Mélanie JOURAND le 16/04/1918 à Parthenay (79)
Acte de décès de Mélanie JOURAND
16/04/1918 - Parthenay (79)
N°49 DECES de Mme Jourand Mélanie veuve Daigne
Le quinze avril mil neuf cent dix-huit, à trois heures du soir
Mélanie Jourand veuve de Pierre Eugène Daigne
née à Quinçay (Vienne), le vingt deux aout mil huit cent
quarante six, sans profession, fille de feu Jean Jourand
et de feue Marie Durepert
est décédée à son domicile situés aux loges
Dressé le seize avril mil neuf cent dix-huit, à dix heures
du matin, sur la déclaration de M. Clovs daigne
quarante-sept ans cultivateur domicilié à Parthenay
fils de la défunte et de M Arthur Vivier, cinquante trois
ans domestique domicilié à Parthenay
qui, lecture faite, ont signé avec nous Léopold Jacquet, adjoint au
maire de Parthenay, spécialement délégué.

Tisserand dans les Mauges et le choletais : une vie de misère

Nos ancêtres tisserands des Mauges et du choletais étaient des tisserands en cave, c'est-à-dire qu'ils possédaient généralement un mais parfois plusieurs métiers à tisser logés dans la cave de la maison. D'après le cousin Claude, Benjamin BOURGET possédait bien un métier à tisser dans sa cave avec lequel il fabriquait des mouchoirs pour Cholet. Ils ont vécus une vie de misère [1] :

Les famille de tisserands, souvent nombreuses, vivent entassées dans l'unique pièce de la maison.

Dès qu'il fait beau, et que vient la belle saison, on mange dehors, sur le « pas de la porte » ou en groupe. Le soleil et la lumière, contrastant avec le clair-obscur de la boutique, éblouissent et font cligner les yeux des tisserands.

On mange la soupe, puis des légumes tirés du bouillon, le fricot dans une « crôle », écuelle de terre cuite ou assiette creuse en terre, ou un pot. C'est le fricot à sauce, mais un bien maigre fricot.
La viande n'apparaît sur la table que quelques jours par an, aux grandes fêtes. Mais à Paques, à moins d'un total dénuement, on sert la soupe grasse.
Le « fricot » sec se mange sur le pain, avec le couteau pour couper chaque bouchée.

Le beurre, la tartine beurrée avec un fruit du jardin, remplace le fromage cher et rare.

Comme boisson, de l'eau que l'on va quérir à la fontaine communale avec la bue, cruche à trois anses.

On trouve ainsi dans les recensements de population de Saint-Malô-du-Bois de 1856 et 1861, les membres du foyer de Jean MAY et Laurence GROLLEAU qui y sont qualifiés d'indigents. Et si nous ne disposons pas de preuve qu'il en est de même pour Benjamin BOURGET et Madeleine BRANGER, les unions se faisant en écrasante majorité dans le même milieu social, il est raisonnable de supposer qu'ils étaient tout aussi miséreux.

Recensement Saint-Malô-du-Bois de 1856
Recensement Saint-Malô-du-Bois de 1856
Recensement Saint-Malô-du-Bois de 1861
Recensement Saint-Malô-du-Bois de 1861

En octobre 1843, on peut lire dans L'atelier, journal rédigé et réalisé par des ouvriers se réclamant du socialisme chrétien de Buchez [2] :

Vous qui louez cette industrie à vil prix, savez-vous comment on l'obtient pour si peu ? ... Les homme qui font ces tissus gagnent à Chollet 40 centimes par jour quand le travail donne ; quand vient le chômage, ils rôdent dans les campagnes par bandes affamés de tout âge et de tout sexe ; et les fermiers qui ont pitié de tant de misères leur laissent ça et là, dans les champs, quelques pomme de terre à ramasser.

Et le 26 septembre 1887, dans Le cri du peuple [2] :

Il est facile, en supputant les heures de travail et le salaire scandaleusement dérisoire que reçoivent ces véritables esclaves de la féodalité capitaliste, de se rendre compte de leur situation matérielle et morale. C'est la misère, la misère noire, l'isolement, le découragement, une dépression intellectuelle, inconcevable, navrante. Ce n'est plus la campagne avec son grand air pur, son ciel bleu ! c'est le bagne, un véritable bagne régional avec son travail forcé, ses garde-chiourmes.

Les maîtres sont dans la main des curés, et cette complicité dans l'asservissement de toute ue population résignée et laborieuse aboutit à un écrasement complet.

Un peu plus loin :

Toute une population anémiée par une nourriture presque exclusivement compsée de légumes cultivés le dimanche dans le petit carré de terre qui s'étend devant la maison.

Encore ceux-ci sont-ils les plus heureux qui possèdent ce lopin de terre. Ceux qui ne l'ont pas sont souvent réduits à faire soupe avec des rognures de choux et des rebuts de toutes sortes.

C'est certainement le coin de France où le cléricalisme excerce le plus sa néfaste influence et où il produit les résultats les plus désastreux, les effets les plus épouvantables.

[1] Marie-Jeanne du Tisserand ou Les souffre-misère des Mauges de René BERGER

[2] Bleus, Rouges, Blancs - Histoire du mouvement ouvrier Choletais de Jean-Joseph CHEVALIER

Madeleine Mélanie BRANGER : acte de décès (sosa 23)

Acte de décès de Madeleine Mélanie BRANGER le 07/01/1908 à Gesté (49)
Acte de décès de Madeleine Mélanie BRANGER
07/01/1908 - Gesté (49)
Le sept janvier mil neuf cent huit, à quatre heures du soir, heure légale,
par devant nous Pierre Marie Eugène Vicomte de Ternes, Maire et
officier de l'état civil de la commune de Gesté, canton de Beaupréau, arron-
dissement de Cholet, département de Maine-et-Loire, à la mairie de cette com-
mune ont comparu Benjamin Bourget, charpentier âgé de trente-spet
ans, fils de la décédée et Elie Bourget, maçon, âgé de soixante-cinq ans,
beau-frère de la décédée, tous demeurant en cette commune, lesquels
nous ont déclaré que ce jour à dune heure du matin est décédée dans son
domicile en ce bourg la nommée Madeleine Mélanie Branger, épicière
née à la Chaussaire, âgée de soixante six ans, fille de feue Pierre Branger
et Marie Talbot, épouse de Benjamin Jacqies Bourget et après nous
être assuré du décès nous avons rédigé le présent acte que les [...]
ont signé avec nous après lecture faite.

Benjamin Jacques BOURGET : acte de décès (sosa 22)

Acte de décès de Benjamin Jacques BOURGET le 09/02/1917 à Gesté (49)
Acte de décès de Benjamin Jacques BOURGET
09/02/1917 - Gesté (49)
Le sept février mil neuf cent dix sept à dix heures du matin Benjamin
Jacques Bourget né à Gesté le vingt quatre juillet mil huit cente trente
huit fils de Jacques Bourget et de Anne Esseul tous deux décédés,
veuf de Madeleine Mélanie Branger domicilié au bouyg en cette
commune est décédé en son domicile. dressé le neuf février mil
neuf cent dix sept a une heure du soir sur la déclarationde Félix
Fromageau, savetier agé de quarante huit ans et de Joseph Picot
tailleur agé de cinquante ans domiciliés en cette commune cousins
du défunt qui lecture faite ont signé avec nous Georges
Bonaventure Vicomte du Poie Maire de Gesté.

Acte de mariage de Jacques Julien BERNIER x Marie MARCAULT

Acte de mariage de Julien BERNIER et Marie MARCAULT le 02/02/1846 à Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
Acte de mariage de Julien BERNIER et Marie MARCAULT
02/02/1846 - Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
Aujourd'hui le deux février mil huit cent quarante sx,
à huit heures du soir, Paredevant nous jacques Gabory, Maire officier
de l'etat civil de la commune de Saint Laurent de la plaine, arron-
dissement de Beaupréau, département de Maine et Loire,
se sont présentés en notre maison commune, le sieur julien
Bernier âgé de vingt huit ans garçon cantonnier demeurant au bourg
de cette commune et y est né le onze mai mil huit cent dix sept
ainsi qu'il résulte de son acte de naissance inscrit au registre de l'état
civil de la même année, fils majeur de joseph Bernier âgé de cinquante
trois journalier en ce dit bourg, et de Marie Boumier âgé de cinquante
quatre ans ses père et mère présents et consentants au mariage d'une part
Et la Demoiselle Marie Marcault âgée de vingt huit ans
domestique en ce dit bourg, née en la commune de Melay en cet
arrondissement le dix juillet mil huit cent dix sept, ainsi que le prouve
son acte de naissance délivré à la mairie dudit Melay, fille majeure
des defunts julien Marcault et Marie Sourice le premier décédé
audit Melay le douze février mil huit ent dix neuf ainsi qu'il est
prouvé par l'acte de son décès délivré au dit Mealy et l'autre décédée
commune de chemillé en cet arrondissement, le sept juin mil huit cent
vingt sept comme il est poruvé par l'acte de son décès délivré à la
mairie du dit chemillé, ses père et mère d'autre part.
Lesquel nous ont requis de procéder à la célébration du mariage
projeté entre eux, et dont les publications ont été faites devant la
principale porte de notre maison commune les dimanches onze
et dix huit janvier dernier à l'heure de midi ; aucune opposition
audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur
requisition après avoir donné lecture de toutes les pièces cisdessus.
Mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du
Mariage, avons demandé au futus époux et à la future épouse s'ils
voulait se prendre pour mari et pour femme, chacun d'eux
ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au
nom de la loi que julien Bernier et Marie Marcault
sont unis par le mariage, de quoi nous avons dressé acte en
présence des sieurs René Bernier âgé de vingt six ans
garçon  Rouiller demeurant en cette commune frère de
l'époux, jacques Gabory âgé de soixante quatorze ans
propriétaire en ce bourg joseph Rousseau âgé de
trente six ans, aubergiste demeurant en cette dite commune
et joseph Guiet âgé de vingt quatre ans garçon Rouiller
ec ce dit Bourg ; les trois derniers amis des époux, les -
quels, après qu'il leur en a été aussi donnée lecture, ont
déclaré ne savoir signer, excepté les dits Gabory Rousseau
et Guiet qui ont signé avec nous.

Marie MARCAULT : acte de décès (sosa 53)

Acte de décès de Marie MARCAULT le 30/03/1880 à Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
Acte de décès de Marie MARCAULT
30/03/1880 - Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
L'an mil huit cent quatre-vingt, le trente mars, à
dix heures du matin. Devant nous René Secher Adjoint,
remplissant en l'absence du maire les fonctions d'Officier de
l'Etat civil de la commune de St Laurent de la Plaine, canton de St Florent
le Vieil, département de Maine et Loire et à la mairie de cette commune,
sont comparus : les sieurs Georges Frémondière âgé de soixante-douze
ans et Georges Frémondière âgé de vingt-six ans, tous deux
cultivateurs domiciliés à la Donasserie, en cette commune, amis de
la décédée ; lesqules nous ont déclaré que hier à dix heures et demis
du soir, est décédée en cette commune Marie Marcault âgée de
soixante-quatre ans, fileuse née à Melay domiciliée au bourg de
cette commune, fille de Jean Marcault et de feue Marie
Sourice, veuve de Julien Bernier décédé en cette commune. Après
nous être assuré du décès, nous avons redigé le présent acte que le dernier
témoins a signé avec nous, le premier ayant dit ne le savoir.

Marie MARCAULT : acte de naissance (sosa 53)

Acte de naissance de Marie MARCAULT le 10/07/1817 à Melay (49)
Acte de naissance de Marie MARCAULT
10/07/1817 - Melay (49)
L'an mil huit cent dix sept le dix juillet à sept heures du main par
devant nous Maire et officier de l'état civil de la commune de
Melay Canton de Chemillé Département de Maine et Loire
est comparu Jullien Marcault journaillé à la Sermonnerie
en cette commune. lequel nous à présenté un enfant du sexe
féminin née d'hier de lui déclarant et de Marie Sourice
son épouse auquel il a déclaré vouloir donné le prénom
de Marie les délcaration et présentation faite en présence de Jacques
Leroux âgé de trente cinq ans et françois Pineau âgé de trente
huit ans tous les deux tisserand en ce bourg, les père et témoins
ont déclaré ne savoir signé.

Julien BERNIER : acte de décès (sosa 52)

Acte de décès de Julien BERNIER le 14/02/1874 à Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
Acte de décès de Julien BERNIER
14/02/1874 - Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
L'an mil huit cent soixante quatorze, le quatore Février à midi.
Devant nous Pierre Hueau Adjoint remplissant les fonctions de maire et d'officier
de l'Etat civil de la commune de St Laurent de la Plaine, canton de St Florent le Vieil,
Département de Maine et Loire et à la mairie de cette commune, sont comprus : Roullier
René âgé de cinquante quatre ans, sabotier domicilié au bourg de cette commune,
cousin issu de germain du décédé et Pétheul Jean âgé de soixante deux ans, tisserand
domicilié en ce bourg, ami du décédé, lesuels nous ont déclaré ue hier soir à cinq
heures, est décédé en cette commune Bernier julien âgé de cinqaunte six ans,
cantonnier né et domicilié en cette commune, fils de Joseph Bernier domicilié
en ce dit bourg et de feue Marie Boumier décédée en cette commune, époux
de Maris Marcault, sans profession, domiciliée au bourg de cette commune.
Après nous être assuré du décès, nous avons rédigé le présent acte que le
premier témoin a signé avec nousn le second ayant dit ne le savoir.

Julien BERNIER : acte de naissance (sosa 52)

Acte de naissance de Julien BERNIER le 11/05/1817 à Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
Acte de naissance de Julien BERNIER
11/05/1817 - Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
Le onzième jour du mois de may, mil huit
cent dix sept, après midy.
acte de naissance de julien, né en ce bourg le
même jour cidessus, a onze heures du matin, fils
de joseph Bernier journalier audit Bourg et de
Marie Boumier son epouse.
premier temoin, julien Leblanc journalier en cette
Commune, Cousin Du côté paternel et parain de l'enfant
Second temoin, pierre onillon closier audit Bourg, aussi
et françoise Boumier fille en cette commune, cousine
issue de germaine du côté maternel et maraine du dit enfant.
Sur la requisistion a nous faite par le père, et ont
déclaré ne savoir signer.
Constaté suivant le loi, par moi Sébastien Cady
maire de la commune de Saint Laurent de la plaine, faisant
les fonctions d'officier public de l'Etat civil, après lecture
fait en la mairie de Saint Laurent de la plaine, Le jour
Moi et an que dessus par nous sousigné.

- page 1 de 7